Quand l\'aigle prend son envole...Ravenclaw\'s Princess

Epilogue :

Je ne suis pas une fille ordinaire. Ou du moins, si, peut-être. Une fille ordinaire avec des prédispositions et des gènes particuliers. Tous ces dons et ces détails particuliers viennent de mon passé. Personne ne me connait réellement mais chacun peut essayer de me connaître. Pour cela, il suffit d'être interessé, garder les yeux et l'esprit bien ouvert et surtout, surtout être muni d'un retourneur de temps efficace. Prêt ? Tourne ton retourneur, prépare-toi à être très dicret. Silence ! On tourne !

Chapitre 1 - Moyen âge ~ 8h00
| << Les deux corps étaient étendu sur le sol glacial... >> |

Il y avait un cri, un cri déchirant cette nuit-là dans la forêt d'Albanie. On avait retrouvé deux cadavres l'un près de l'autre. Une femme, un homme. Il y avait eu plusieurs coups de poignard et les deux jeunes gens étaient tachetés de sang.
A des kilomètres de là, quelques jours plus tard, Rowena Serdaigle fut avertit de la mort tragique de sa fille. Elle ne pouvait y croire et jamais, au grand jamais elle esperait pouvoir regarder cette boucherie. Lui. Elle lui avait fait confiance. Comment avait-il put ? Comment avait-il bien put tuer la chair de son sang comme il aimait le dire. Mais Helena était fougeuse. Avait-elle une fois de plus repousser ses avances ? Certainement. Nicolas. Le prénom avait résonné dans la vaste demeure Serdaigle. Le frère d'Helena arriva en courant. Une fois la nouvelle apprise, il avait prit son cheval et galopé pendant de longs moments jusqu'à l'Albanie. Sa soeur. Celle qu'il aimait plus que tout.
Enfin, il était arrivé au lieu du crime. Sur ordre d'un messager, les corps n'avaient pas bougé. S'approchant doucement, sentant des larmes brulantes lui monter aux yeux, il se dirigea vers le traître et celle qui avait était sa soeur.
Les deux corps étaient étendu sur le sol glacial, le regard vide. Comme il le haïssait, lui, le baron. Comme il esperait que cette homme soit maudit à jamais. Qu'il soit forcé de vivre près d'elle, sans jamais pouvoir la toucher. La voir rire et sourire en ce demandant " mais qu'ai-je fait ? ".
Son retour en Angleterre se fit dans le plus grand des malheurs et le plus grand désarroi. Il n'avait jamais retrouvé la couronne mais peu lui importait. Sa soeur était morte, il n'y avait pas de pire douleur. D'autant plus que la confirmation de Nicolas tua sa mère sur le coup...


Chapitre 2 - 1888 ~ 23h30
| << La famille McGregor est très réputée pour son apparentée à Serdaigle >> |

La mort. Chacune des familles passe par ce moment douloureux à un moment ou un autre. Que ce soit une mort, calme, bien tranquille au fond d'un lit, une mort causé par un amour incaccessible un soir de pleine lune dans une forêt d'Albanie ou une tentation charnière un soir de nuit noir dans une ruelle sombre. Cette nuit-là, dans le manoir d'Ecosse des McGregor, la famille fut atteinte d'une terrible malédiction. Un vampire, oui, un vampire. La fille et donc heritière de cette famille renommée venait de se faire mordre par un vampire. Les famille McGregor est très réputée pour son apparentée à Serdaigle, ce qui causa l'énorme stress des parents quand ils surent que leur fille était devenu vampire. Un grand désarroi s'empara d'eux. Comment continuer à vivre normalement ? Comment cacher sa fille aux yeux de tous quand ceux-ci la croient morte ? Comment rester digne de la noble maison de Serdaigle ? Tant de question dans leur coeur qui subsistait à ce moment. Parfois, un problème a plusieurs solutions. Il suffit de choisir celle sue l'on préfère. Souvent, quand les solutions sont multiples beaucoup sont tellement inimaginable pour la personne qui les trouvent qu'ils ne les considères pas comme une solution. Et c'est ainsi que nous disons depuis la nuit des temps qu'il n'y a qu'une solution possible. Ce fut également le cas pour les McGregor. Ils ne trouvèrent qu'une seule solution adaptable cette nuit-là... Attendre que les personnes qu'ils avaient connus meurent...



Chapitre 3 - Août 1975 ~ Durant toute une nuit
| << Elle ignorait si c'était de l'amour mais elle savait que ce serait inoubliable >> |

Absynthe McGregor était bien seule cette nuit là. Dans l'allée des embrumes, elle divaguait calmement. Elle était seule bien naturellemet comme maintenant bien de longues années. Elle était a la recherche de divertissement. Bien qu'elle n'était pas d'une extrême jeunesse, sa beauté semblait tous les figer. Comment dire ? Il y avait quelque chose d'extrêmement attirant. Entrant dans un des bars les plus mal famé et réputée pour ses nombreuses bagarres elle s'assit au bar après avoir demandé un bon vieux scotch écossais.

- J'étais lion de me douter qu'une femme aussi classe que vous puissent boire de tels alcools et entrer dans un bar aussi lugubre.

Elle se retourna vivement vers lui plongeant son regard bleu royal dans les siens. Il sembla surpris. Oui, les yeux d'Absynthe étaient plus que particulier avec leur couleur que personne ne pouvait égaler. Bien que la belle se trouvait face à un mangemort, elle ne fit aucun mouvement de recul. Bien au contraire, elle sourit moqueusement. S'il savait à qui il parlait le pauvre ! Après quelques verres et une longue discussion, les dernières paroles furent échangée à l'étage supérieur. Elle ignorait si c'était de l'amour mais elle savait que ce serait inoubliable. D'abord parce que l'homme savait s'y prendre. De plus, il lui avait laissé un petit souvenir. Cadeau qu'elle ne déblerait que 9 mois plus tard... Après un dernier regard le lendemain, elle le laissa partir, lui, cet homme, Antonin Dolohov.


Chapitre 4 - 1er Mai 1976 ~ 10h00
| << L'être que j'apelle moi... >> |

L'être que j'apelle moi naquit un beau matin de printemps, le 1er Mai 1976. Le soleil brillait et je peux me vanter qu'il fasse assez bon, ce qui n'est sûrement pas évident à cette periode de l'année en Ecosse. Ma mère accoucha dans une pièce sombre et après plusieurs contractions je fus enfin sortie. Après é'avoir lavée, elle me prit dans les bras. J'étais blonde, comme elle. Mais ma mère ne cessait pas une seule minute de m'observer. Elle attendait, elle esperait. Ce don, dans la famille depuis plusieurs générations. mon arrière arrière grand-mère, ma grand-mère et ... moi-même ? Depuis des générations et des générations, les McGregor était métamorphmages de grand-mères en petites filles et à présent c'était mon tour. Soudain mes cheveux devinrent chocolat. Avec grand soulagement j'étais bel et bien métamorphmage. Puis la crainte apparut de nouveau. Et si la fille d'Absynthe McGregor était comme elle ? Elle m'observa attentivement. J'avais de magnifiques yeux vert qui tournqit quelque peu dans le bronze près de la pupille. Des yeux sublimes et étonant pourtant, ma peau était tiède et mes joues bien rose. Je n'avais donc pas herité du virus.


Chapitre 5 - 3 Décembre 1983 ~ 14h00
| << Les enfants sont cruels >> |

Je suis bizarre j'en est la certitude. Bizarre, ou tout simplement différente. A vrai dire, la différence n'est pas énorme. Ce qui sort de l'ordinaire nous paraît facilement bizarre. Aussi, je suis rejettée de tous. Je suis seule. Seule depuis bien longtemps. Si longtemps à vrai dire que cela ne me pèse même plus. Je trouve les autres si commun et ils me trouvent si singulière. Tous se ressemble, tous s'assemble. Pas moi. Pourquoi ? De la peur ? Peut-être. De l'envie ? Sûrement. De la jalousie ? Sans aucun doute. Eux, ils ne sont que les brins d'herbes fraîchement coupé, tous identique. Moi, je suis l'aigle qui les survole. Ils ne m'interessent pas. Je cherche juste à être moi et surtout...libre. Libre de voler, libre comme le vent, libre comme l'aigle. Pourquoi cette singuliarité ? Je n'ai que 7 ans et pourtant je peux déjà l'expliquer. Le première me raison est sans doute celle qui me blesse plus que tout. Non pas une simple blessure comme le couteau dans la chair, plutôt comme celle du venin dans le sang. Après que les crochets vous ai traversé la peau, la douleur ne s'arrête pas, elle s'accentue plutôt. Pourquoi donc une petite fille comme moi ressentirait donc cette sensation ? C'est très simple. Il suffit de regarder autour de moi. Il suffit de se ballader dans le quartier uppé et insignifiant de sorciers dans lequel je vis. Whitshire. Imaginez-vous donc cette rue magnifique, magique. Quelle que soit la saison, jamais elle n'est dégradée. Au printemps, les arbres colorés de pastels, les fleurs et les insectes revoient une image où il y fait bon vivre. En été, le soleil étincellant l'illumine de mille feux. En hiver, elle prends des tonalitées brunes, rousses et rouges splendide. En hiver, la mousse légère et blanche communément appelée "neige" accorde à merveille avec les couleurs des deumeurs des alentours. Partout vous verrez de riches sorciers. Des enfants heureux. Un bonheur si parfait qu'il en est presque tactile. Des enfants avec leur mère. Des enfantsavec leur... père. Père, papa... pourquoi j'ai tant de mal à dire ces deux mots ? Pourquoi me brûlent-ils avec tant d'ardeur, tel le venin du plus terrible des serpents ? Peut-être prace que dans mon monde, papa n'existe pas ? Je n'ai tout simplement pas de papa. Maman ne m'en parle jamais et refuse que je lui en parle. Voila un premier point pour lequel je suis si singulière.
D'après maman, ce deuxième point qui me rend si différente, je dois le porter la tête haute, avec fièrté. Peu importe ce que me diront tous les autres, tout ne sera que jalousie. J'avoue que j'ai du mal à la croire. Si c'était réellement le cas, pourquoi donc me le cacher pendant tant d'années ? Ma découverte est une longue histoire que je décide d'enfin conter...
Je plane... calme, sereine. Je vole. Je sai voler. Je me sens libre. Le vent est mon ami, il me caresse et me porte lentement. En dessous de moi, une étendu de verdure. Un rêve. La mort peut-être... Je me sens si calme. J'ai l'impression que je suis en sécurité, plus rien ne peut m'arriver. Je suis un oiseau. Un aigle. Le roi des oiseaux. Un aigle royal.
Tout s'efface, la nuit m'emporte. Je me retrouve seule dans ma chambre et l'angoisse m'envahit de nouveau. Je ne suis pas un aigle. Non. Je suis juste moi, Eleonor Kristen McGregor et je m'interroge. Pourquoi donc ? Pourquoi est-ce que les aigles emplissent mon esprit qu'il soit endormi ou éveillé ? Pourquoi donc j'ai l'impression qu'ils me comprennent et que je peux leurs parler ? Pourquoi en me concentrant sur l'un d'eux je peux les voir à travers mes rêves comme si j'était au fond d'eux ?